V. Carraud, sobre a estreia do vocábulo Exsistentia:
En effet, ce que le P. de Ghellinck disait dans un article classique de l’essence et de la substance est sans doute plus vrai encore de l’existence : « Ces deux mots, essentia et substantia, dont a usé et abusé le latin médiéval, ont pénétré dans la langue latine par une entrée en scène très modeste, dont les pénibles débuts, comme traductions ou équivalents d’”ousia” et de “hypostasis”, ne faisaient présager en rien les retentissantes destinées ultérieures »14. Débuts discrets donc, voire pénibles, malgré la multiplication des dérivés, et sans postérité au Ve siècle ou dans les siècles suivants.
CARRAUD, V. L’invention de l’existence.
Note sur la christologie de Marius Victorinus